Nadia Temacini

L’ingénieure

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S’il y a un conseil que Nadia Temacini donne habituellement aux jeunes femmes qui veulent faire carrière dans les domaines des STIM, c’est de toujours suivre sa curiosité et ses intérêts, même s’ils n’ont aucun rapport avec ce que l’on fait ou étudie actuellement.

Mme Temacini est la preuve vivante de ses propres conseils.

Titulaire d’un diplôme en génie chimique de l’Université d’Ottawa, elle s’est tracé une carrière déjà variée au sein et à l’extérieur d’OPG, qui l’a vue passer de l’industrie pétrolière et gazière de l’Alberta aux opérations nucléaires d’OPG, puis au poste de coordonnatrice adjointe des marchés de l’entreprise.

« Ne limitez pas vos options « , a dit Mme Temacini. « Vous pouvez vous intéresser à de nombreux sujets, comme la biologie et le codage, et trouver un programme universitaire et des carrières qui tiennent compte des deux. Il existe des carrières qui incorporent de nombreuses intersections et vous n’êtes pas obligé de suivre un seul chemin traditionnel. »

Dans son rôle actuel, Mme Temacini se trouve assez loin de son diplôme en génie chimique.

Au sein du groupe des opérations commerciales d’OPG, dans la division de la gestion des actifs et du transport, Mme Temacini aide à coordonner les diverses interruptions de service entre les centrales hydroélectriques, nucléaires et thermiques d’OPG tout en collaborant avec la Société indépendante d’exploitation du réseau d’électricité pour veiller à ce que la demande d’électricité de l’Ontario continue d’être satisfaite.

Les interruptions de service dans les centrales d’OPG impliquent généralement la mise hors service d’unités de production à des fins de maintenance, d’inspection ou de réparation. Ces programmes de travail sont essentiels pour assurer un rendement fiable et sécuritaire des installations de production d’OPG.

« Mon travail quotidien implique beaucoup de communication avec les différents groupes de centrales », a déclaré Temacini. « Par exemple, je discute quotidiennement avec les gestionnaires de l’eau d’OPG pour connaître l’état des rivières et j’utilise ces informations ainsi que les conditions du marché pour aider les opérateurs à mieux comprendre comment faire focntionner les centrales et planifier les arrêts. »

Mme Temacini n’avait pas l’intention de se retrouver à travailler dans le secteur de l’énergie. C’est arrivé comme ça. Pendant son stage coopératif, elle a travaillé comme étudiante en recherche dans un laboratoire de technologies d’énergie propre chez Ressources naturelles Canada. Cette expérience a fondé la base du reste de son stage, puisqu’elle a ensuite travaillé dans le secteur des pâtes et papiers chez Tembec au Québec et dans le secteur des sables bitumineux chez Suncor Energy à Fort McMurray, en Alberta.

Le crash pétrolier de 2014 l’a poussée à chercher d’autres opportunités, ce qui l’a ramenée en Ontario en 2016 pour se joindre à OPG dans le cadre du nouveau programme d’ingénierie pour diplômés.

Ce programme de deux ans a permis à Temacini d’élargir ses compétences en ingénierie grâce à diverses affectations au sein des opérations nucléaires d’OPG. Elle a travaillé dans l’ingénierie des centrales à Pickering Nuclear et puis dans la conception des centrales à Darlington Nuclear. Ensuite, elle a passé deux ans à travailler dans le domaine de la protection contre les incendies pour l’ensemble du parc de production d’OPG avant de retourner à Darlington pour offrir son soutien au groupe des opérations d’interruption de service.

Elle a accepté son poste actuel l’année dernière pour élargir ses compétences. « Je voulais en apprendre davantage sur l’industrie de l’énergie dans son ensemble, au-delà du nucléaire, ainsi que prendre du recul et avoir une vue d’ensemble », a déclaré Mme Temacini. « J’ai eu la chance de pouvoir bouger pas mal dans l’entreprise afin de trouver ma niche ».

En dehors du travail, Mme Temacini s’efforce chaque année d’aller à la rencontre des jeunes filles et de promouvoir les carrières dans les STIM par le biais de diverses interventions. Outre son conseil de faire preuve d’ouverture d’esprit face à différentes opportunités, elle encourage les jeunes femmes et les jeunes femmes racisées à ne jamais s’excuser pour ce qu’elles sont et ce qu’elles apportent. « Dans les domaines traditionnellement masculin, il y aura toujours des gens qui douteront de vous », a-t-elle déclaré. « Mais vous avez étudié aussi dur que n’importe qui, vous avez obtenu votre diplôme et votre place dans votre carrière. Il n’y a aucune raison de rester silencieuse ou vous effacer Aufinal, personne ne peut vous reprocher de faire votre travail, même si cela peut mettre quiconque mal à l’aise. »

S’il y a un conseil que Nadia Temacini donne habituellement aux jeunes femmes qui veulent faire carrière dans les domaines des STIM, c’est de toujours suivre sa curiosité et ses intérêts, même s’ils n’ont aucun rapport avec ce que l’on fait ou étudie actuellement.

Mme Temacini est la preuve vivante de ses propres conseils.

Titulaire d’un diplôme en génie chimique de l’Université d’Ottawa, elle s’est tracé une carrière déjà variée au sein et à l’extérieur d’OPG, qui l’a vue passer de l’industrie pétrolière et gazière de l’Alberta aux opérations nucléaires d’OPG, puis au poste de coordonnatrice adjointe des marchés de l’entreprise.

« Ne limitez pas vos options « , a dit Mme Temacini. « Vous pouvez vous intéresser à de nombreux sujets, comme la biologie et le codage, et trouver un programme universitaire et des carrières qui tiennent compte des deux. Il existe des carrières qui incorporent de nombreuses intersections et vous n’êtes pas obligé de suivre un seul chemin traditionnel. »

Dans son rôle actuel, Mme Temacini se trouve assez loin de son diplôme en génie chimique.

Au sein du groupe des opérations commerciales d’OPG, dans la division de la gestion des actifs et du transport, Mme Temacini aide à coordonner les diverses interruptions de service entre les centrales hydroélectriques, nucléaires et thermiques d’OPG tout en collaborant avec la Société indépendante d’exploitation du réseau d’électricité pour veiller à ce que la demande d’électricité de l’Ontario continue d’être satisfaite.

Les interruptions de service dans les centrales d’OPG impliquent généralement la mise hors service d’unités de production à des fins de maintenance, d’inspection ou de réparation. Ces programmes de travail sont essentiels pour assurer un rendement fiable et sécuritaire des installations de production d’OPG.

« Mon travail quotidien implique beaucoup de communication avec les différents groupes de centrales », a déclaré Temacini. « Par exemple, je discute quotidiennement avec les gestionnaires de l’eau d’OPG pour connaître l’état des rivières et j’utilise ces informations ainsi que les conditions du marché pour aider les opérateurs à mieux comprendre comment faire focntionner les centrales et planifier les arrêts. »

Mme Temacini n’avait pas l’intention de se retrouver à travailler dans le secteur de l’énergie. C’est arrivé comme ça. Pendant son stage coopératif, elle a travaillé comme étudiante en recherche dans un laboratoire de technologies d’énergie propre chez Ressources naturelles Canada. Cette expérience a fondé la base du reste de son stage, puisqu’elle a ensuite travaillé dans le secteur des pâtes et papiers chez Tembec au Québec et dans le secteur des sables bitumineux chez Suncor Energy à Fort McMurray, en Alberta.

Le crash pétrolier de 2014 l’a poussée à chercher d’autres opportunités, ce qui l’a ramenée en Ontario en 2016 pour se joindre à OPG dans le cadre du nouveau programme d’ingénierie pour diplômés.

Ce programme de deux ans a permis à Temacini d’élargir ses compétences en ingénierie grâce à diverses affectations au sein des opérations nucléaires d’OPG. Elle a travaillé dans l’ingénierie des centrales à Pickering Nuclear et puis dans la conception des centrales à Darlington Nuclear. Ensuite, elle a passé deux ans à travailler dans le domaine de la protection contre les incendies pour l’ensemble du parc de production d’OPG avant de retourner à Darlington pour offrir son soutien au groupe des opérations d’interruption de service.

Elle a accepté son poste actuel l’année dernière pour élargir ses compétences. « Je voulais en apprendre davantage sur l’industrie de l’énergie dans son ensemble, au-delà du nucléaire, ainsi que prendre du recul et avoir une vue d’ensemble », a déclaré Mme Temacini. « J’ai eu la chance de pouvoir bouger pas mal dans l’entreprise afin de trouver ma niche ».

En dehors du travail, Mme Temacini s’efforce chaque année d’aller à la rencontre des jeunes filles et de promouvoir les carrières dans les STIM par le biais de diverses interventions. Outre son conseil de faire preuve d’ouverture d’esprit face à différentes opportunités, elle encourage les jeunes femmes et les jeunes femmes racisées à ne jamais s’excuser pour ce qu’elles sont et ce qu’elles apportent. « Dans les domaines traditionnellement masculin, il y aura toujours des gens qui douteront de vous », a-t-elle déclaré. « Mais vous avez étudié aussi dur que n’importe qui, vous avez obtenu votre diplôme et votre place dans votre carrière. Il n’y a aucune raison de rester silencieuse ou vous effacer Aufinal, personne ne peut vous reprocher de faire votre travail, même si cela peut mettre quiconque mal à l’aise. »